Quatre jours de vacances seulement, en deux ans. C'est ce que s'était octroyé Bachir Lamaallem, commerçant castelroussin, le 12 mars dernier, en partant avec Nihad, sa femme, à destination du Maroc. « Ces quelques jours, j'en avais besoin. Je travaille dur, c'était le moment de souffler un peu. Bien sûr, j'avais des doutes en partant, avec la crise qui commençait. Mais en voyant que les élections municipales étaient maintenues, ça m'a rassuré. Et ce n'était que quatre jours... » Mais voilà, le lendemain de son arrivé, le Maroc décide de fermer ses frontières. « À ce moment-là, on a du mal à anticiper....
Le cri d'alarme de Bachir Lamaallem
Le Mercredi 22 Avril modifié le Mercredi 22 Avril - 12:56
Gérant d'une boutique pour enfants rue Jean-Jaurès, Bachir est bloqué au Maroc depuis le 12 mars. À bout, il cherche à rentrer pour s'occuper de sa maman et sauver son entreprise. En vain.
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