Voici les principales informations de journaux français parus vendredi :
LE FIGARO
Fausses nouvelles, vrais périls
Prends bien soin que se diffuse concernant tes concurrents une rumeur infamante de crime, d'immoralité ou de corruption accordée à leurs mœurs, recommandait Quintus Cicéron dans son Petit manuel de campagne électorale. C'était il y a deux mille ans. Depuis, le mensonge et la propagande continuent d'accompagner la politique, mais, sur le continent numérique, terre de l'immédiateté, de la compulsion et de l'hyperbole, ils prennent des proportions délirantes. Réputations brisées, calomnies relayées, images trafiquées, les possibilités de manipulation des esprits sont sans limite.
LES ECHOS
TVA : les taux réduits dans le collimateur
Alors que Bercy étudie une baisse de 5 milliards des aides aux entreprises, le ministre de l'Economie et des Finances, Bruno Le Maire, a indiqué jeudi que les taux réduits de TVA faisaient partie de cet examen. "Si on fait quelque chose de significatif, il faudra revenir sur les taux de TVA réduits", a-t-il annoncé, lors d'une audition à l'Assemblée nationale. Le ministre a appelé les parlementaires à se saisir du sujet pour "confronter leur évaluation à celle du gouvernement".
LE MONDE
Fausses informations : une loi, pour quoi faire ?
L'Assemblée nationale devait examiner, jeudi 7 juin, deux propositions de loi - l'une ordinaire, l'autre organique - sur "la manipulation de l'information". La difficile définition des "fake news" et les conditions qui encadrent leur interdiction en période électorale rendent l'application de la loi très improbable. Les députés de La République en marche ont répondu au souhait d'Emmanuel Macron, mais l'ensemble de l'opposition s'inquiète de ce texte. La plupart des pays d'Europe ont renoncé à légiférer, sauf l'Allemagne, dont le texte, qui vise d'abord les messages haineux, est critiqué.
LE FIGARO
Fausses nouvelles, vrais périls
Prends bien soin que se diffuse concernant tes concurrents une rumeur infamante de crime, d'immoralité ou de corruption accordée à leurs mœurs, recommandait Quintus Cicéron dans son Petit manuel de campagne électorale. C'était il y a deux mille ans. Depuis, le mensonge et la propagande continuent d'accompagner la politique, mais, sur le continent numérique, terre de l'immédiateté, de la compulsion et de l'hyperbole, ils prennent des proportions délirantes. Réputations brisées, calomnies relayées, images trafiquées, les possibilités de manipulation des esprits sont sans limite.
LES ECHOS
TVA : les taux réduits dans le collimateur
Alors que Bercy étudie une baisse de 5 milliards des aides aux entreprises, le ministre de l'Economie et des Finances, Bruno Le Maire, a indiqué jeudi que les taux réduits de TVA faisaient partie de cet examen. "Si on fait quelque chose de significatif, il faudra revenir sur les taux de TVA réduits", a-t-il annoncé, lors d'une audition à l'Assemblée nationale. Le ministre a appelé les parlementaires à se saisir du sujet pour "confronter leur évaluation à celle du gouvernement".
LE MONDE
Fausses informations : une loi, pour quoi faire ?
L'Assemblée nationale devait examiner, jeudi 7 juin, deux propositions de loi - l'une ordinaire, l'autre organique - sur "la manipulation de l'information". La difficile définition des "fake news" et les conditions qui encadrent leur interdiction en période électorale rendent l'application de la loi très improbable. Les députés de La République en marche ont répondu au souhait d'Emmanuel Macron, mais l'ensemble de l'opposition s'inquiète de ce texte. La plupart des pays d'Europe ont renoncé à légiférer, sauf l'Allemagne, dont le texte, qui vise d'abord les messages haineux, est critiqué.






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