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EDITO - Presse mal-aimée


Le Samedi 3 Février modifié le Mardi 30 Novembre



Quand un journaliste fait son travail, seulement son travail, ce pour quoi il est payé — très souvent modestement —, il peut aller en prison. Aujourd’hui, quatre confrères sont poursuivis pour avoir publié, fin 2016, des extraits de débats d'une commission d'enquête parlementaire consacrés au déficit colossal de la Caisse marocaine de retraites.

Source : http://telquel.ma/2018/02/03/edito-presse-mal-aime...